Pour considérer un logiciel comme « libre », il doit garantir un ensemble de libertés fondamentales à son utilisateur. Elles sont définies par la
Free Software Foundation ou l’
Open Source Initiative. Les plus importantes garantissent la possibilité :
- d’utiliser le logiciel sans restriction aucune des domaines d’application ;
- d’étudier le fonctionnement via l’accès au code source ;
- d’améliorer le logiciel et de publier ses propres améliorations ;
- de créer des logiciels dérivés et de les redistribuer.
Pour un logiciel non libre, dit « propriétaire », l’usage est strictement réglementé. Il est impossible d’effectuer des modifications tant pour des raisons légales que techniques. Le logiciel Windows est par exemple propriétaire. Son utilisation est donc typiquement restreinte à la personne détentrice d’une licence et à son PC.